17 juin 2009

"Dans les rues et sur les places de Téhéran."

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"Cette poussière, c'est toi,

La passion, c'est moi,

L'amant désespéré, c'est moi,

La cruauté, c'est toi,

L'aveuglement, c'est toi,

Je suis téméraire et je suis impétueux,

L'Iran est à moi."

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Comme quoi, si tout est politisable, dans tout événement politique on découvre aussi de la poésie.

Je trouve Ahmadinejad et ses larmes très esthétiques tout comme ce poème qui évite la censure en cheminant dans Téhéran, inscrit sur un billet de banque. Ici.


Qu'en est-il de la violence ?



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1 commentaire:

Nimbus a dit…

La violence a lieu à l'Achoura.
Les chiites, et donc la culture iranienne, semblent porter en eux le martyr. Et la passion.

Tant de beauté pour cacher cette extrême laideur.