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« Pour moi ne comptent que ceux qui sont fous de quelque chose, fous de vivre, fous de parler, fous d’être sauvés, ceux qui veulent tout en même temps, ceux qui ne baillent jamais, ceux qui ne disent pas de banalités, mais brûlent, brûlent, brûlent ... »
Kerouac me rappelle un moment que j’ai vécu,
à m’appliquer à ne pas dire de banalités
et à attirer l’attention
d’un être qui brûle.
« J’ai l’impression d’être hors du monde » avais-je dit.
Mais la démesure est-elle meilleure que l’équilibre ? Je suis persuadée que les deux sont compatibles et peuvent se mêler dans un feu de joie. La vie m’a toujours crié que la sagesse et la folie étaient siamoises. Comme un alliage indestructible. La vie m’a donné le nom de la première et je l’espère un destin brûlant au nom de la seconde.
Je me suis réveillée d’un long sommeil.
Ils verront.
2 commentaires:
Hmmmm...
Anti - Nomos, qui te ressemble peut-être encore plus qu'il ne le croyait.
ma So je t'aime (comme tu es !) !!! ;)
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