18 avril 2010

Libre

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"Comment rester et comment partir ? Comment tourner la page, comment faire de nouveaux pas pour écrire les nouveaux chapitres de ta vie ? Et je pense que c'est une question éternelle pour tout le monde, mais pour moi, je suis vraiment une éternelle nomade (...). Peut-être que c'est ma vie qui est faite comme ça, partiellement le destin, partiellement moi parce que je voudrais être libre. La question est toujours là, comment être libre ?"

Beata Palya





Abbas




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3 commentaires:

Anonyme a dit…

[Mode logicien ^_^]

Pour rester il ne faut pas bouger.
Pour partir il faut marcher, ou trouver un moyen de se faire déplacer.
De quelle page parles-tu ? Pour tourner la page d'un livre, il faut la saisir avec ses doigts et la faire basculer de l'autre côté.
Tu sembles écrire un livre qui s'appelle "ta vie". Si ce n'est pas le cas, je ne comprends pas. Si c'est le cas et que tu as besoin de faire des pas pour écrire les nouveaux chapitres de ce livre, mets une jambe devant l'autre sur le sol une à une en maintenant ton corps en équilibre. C'est-à-dire : marche.
Ce n'est pas une mais quatre questions. Aucune de ces questions n'est éternelle pour tout le monde, car aucune n'est éternelle pour moi.

Cela me gêne de voir un passage supprimé, car peut-être m'aurait-il expliqué de nombreuses choses de ce texte que je ne comprends pas.

Je ne comprends pas ce qui devrait être l'avant-dernière phrase.
Je comprends mal ce qui devrait être la dernière phrase.
Comment être libre ? Je crois qu'il n'y a rien à faire pour cela. Je crois que soit tout est temporellement déterminé, auquel cas rien n'est libre, soit, ce qui me paraît moins probable, que le hasard métaphysique existe, auquel cas le sort agit probablement sur toutes choses visibles de ce monde, sur les cailloux, sur les plasmas stellaires, sur les êtres humains, sur les plantes, et beaucoup d'autres choses encore.

Antinomos

Balkis a dit…

Les propos que j'ai retranscrits sont peut-être incompréhensibles au premier abord mais ils sont au moins un peu plus profonds que d'autres. Et plus poétiques à mon goût.

Anonyme a dit…

Pas de soucis Balkis ! J'aime ta poésie, même si elle n'est pas logique ! Vive la communion des hétalquies curieuses et des aumotides ! ^^

Antinomos